Vous êtes plongeurs, vous aimez la mer car vous avez souscrit avec votre club à la charte de bonne conduite lors de vos balades sous-marines.
Aujourd’hui, nous aurons tous les yeux rivés sur le transport du Concordia qui a encore à son bord dans ses soutes, de quoi pollué notre petit paradis terrestre.
Quelle menace pour les fonds marins ?
Le 13 janvier 2012, le Costa Concordia faisait naufrage sur l’île italienne de Giglio, entraînant la mort de 32 personnes. Les opérations de renflouement du navire,
entamées lundi 14 juillet, font craindre le rejet des substances polluantes contenues dans l’épave. Contrairement à ce qui avait été suggéré, le Concordia ne sera pas laissé sur place pour devenir une attraction touristique. Après avoir été remis à flot puis redressé, le navire doit rejoindre le port de Gênes pour subir un démantèlement qui devrait durer deux ans. 4 jours seront nécessaires pour parcourir 280 kilomètres, en passant au large de la Corse, de l’île d’Elbe et de l’île italienne de Capraia.
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Vous partez en vacances au soleil dans des pays où la température vous invite au farniente, alors attention, prenez vos précautions.
Bill Gates vient tout juste de créer une infographie recensant les 15 animaux les plus mortels de la planète, en se basant sur le nombre officiel de morts chaque année.
Si les lions, crocodiles et autres requins en font partie, ce n'est autre que le moustique qui prend la tête du classement.
L'animal le plus mortel de la planète ? Vous pensez à l'être humain ? Pas tout à fait. Si l'homme affiche un beau palmarès, il est largement devancé par… le moustique. Ces petits insectes volants sont en effet porteurs de nombreuses maladies, dont la malaria, qui tue chaque année des centaines de milliers de personnes dans le monde. A cause des pathologies qu'ils transmettent, les moustiques handicaperaient également quelque 200 millions de personnes par an. C'est donc bien plus que l'homme qui arrive deuxième avec pas moins de 475.000 morts annuelles. Un animal omniprésent C'est Bill Gates qui est à l'origine de ce nouveau classement des 15 animaux les plus mortels de la planète. Publiée sur son blog, l'infographie se base sur des chiffres officiels issus notamment de l'Organisation mondiale de la santé et de la Food and Agriculture Organisation des Nations Unies.
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Echange avec Kris Vancayemberg, patron d’un club de plongée à Hyères. Nous avons constatés avec lui que pendant les sorties plongée sur n’importe quels sites juste avant la mise à l’eau, les plongeurs ne boivent pas ou très peu… Ils ont pourtant la réputation de ne pas être les derniers à lever le coude au bar, mais pour Kris, il est effaré de les voir si peu boire d’eau en mer ! Ce n’est pourtant pas une nouveauté que la plongée entraîne une déshydratation, sans parler de la chaleur et du soleil. Même en leur mettant de l’eau à disposition, en plein soleil et au cœur de l’été, ils se rincent juste la bouche. Et après on vient nous parler d’accidents de décompression soi-disant immérités alors que nous avons tous des ordis avec alarmes, manos, etc. Avoir une bouteille d’eau dans son sac devrait être un réflexe, tout comme on emporte ses palmes et son détendeur. Mais buvez nom d’une pipe, buvez !
Pour une fois qu’on nous en intime l’ordre, il n’y pas de quoi se priver. Et, pour paraphraser un ancien slogan : un litre d’eau ça va, un verre bonjour les dégâts.
Le Bureau.
En intégrant le requin mako à la liste des espèces protégées de son Code de l’environnement, le gouvernement de Polynésie française a donné naissance, début décembre, au plus grand sanctuaire du monde pour squales.
Jusqu’à présent, le requin mako était en effet pêché pour la consommation de sa chair et vendu sur les marchés locaux ou à l’export. Mais comme l’explique le compte-rendu du conseil des ministres du gouvernement polynésien daté du 3 décembre, « ce requin n’est pratiquement plus débarqué sur le port de pêche : le faible prix d’achat proposé aux pêcheurs ne permet pas de compenser le volume important que nécessite son stockage dans les cales des thoniers ». L’interdiction de capturer le requin mako a donc été approuvée, avec l’accord des professionnels. Une décision qui permet ainsi de créer une vaste zone de protection des squales, de près de 5 millions de km2, soit la plus grande au monde.
Bon, si vous êtes en manque d’idées pour votre prochaine destination de vacances alors, plus d’hésitation les nombreuses Îles de la Polynésie française vous accueilleront et vous feront découvrir au travers d’immersions exceptionnelles, le monde des squales qui graviteront autour de vous rien que pour poser devant votre objectif de votre appareil photos.
Le Bureau.
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Déjà avec le soleil qui revient sur notre région et sur les sites de plongées en bord de mer, notre tête est ailleurs. Ce ailleurs s’appelle Cerbère, Hendaye, Borme les Mimosas, Estartit, Cala Montjoie etc…
Mais voilà, malgré les efforts aux quotidiens et le talent de nos formateurs techniques de notre section de l’AS.ORTF, parfois nous ne sommes pas toujours sereins avant de plongée en milieu naturel car notre jeune expérience de palmipède nous met face à certaines contraintes.
Stress et contraintes en plongée
La plongée sous-marine est une activité que beaucoup d’entre nous pratiquent pour son côté détente et pour oublier tous les soucis du quotidien. Alors afin que nos immersions dans le monde de Nemo restent 200 % plaisir, voici les solutions adéquates pour “disperser façon puzzle” quelques points générateurs de stress. Souriez, vous plongez !
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Nous sommes dans une bonne période de congés pour beaucoup de plongeur de notre section... A cette occasion, quelle merveilleuse activité. École d’humilité et... d’humidité en même temps !
A la section de l’AS.ORTF plongée nous avons tous connu ça. Très souvent cela commence par un bon trajet en zodiac où on se fait copieusement rincer. Ensuite, la plongée en elle-même, où, par définition, on est plutôt mouillé. Retour, dans les embruns et les paquets de mer.
Mais ce n’est pas fini. Car ce qui distingue ce sport entre tous, c’est qu’une fois à terre, «au sec», il faut encore se mouiller. Il faut rin-cer !
Et oui. Alors qu’on aspirerait au repos, sur une terrasse d’un café avec une bonne mousse, figurez-vous qu’il faut encore transbahuter le matériel, au mieux sur des pontons branlants, au pire sur des plages infestées, au de vives, de corail tranchant quand ce n’est pas sur un kilomètre de terrain découvert à marée basse, truffé de cailloux, de trous d’eau piègeux. Direction le bac de rinçage !
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